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Marcher sur le Chemin du Nadir au Zenith!

⭐️ ... La Marche au Long Cours : Une Odysée Intérieure et Extérieure ... 🌟 - "Fou de Marche" - 2 -

⭐️ ... La Marche au Long Cours : Une Odysée Intérieure et Extérieure ... 🌟 -  "Fou de Marche" - 2  -

Bonjour à tous , 

effectivement à la lecture du texte de Jacques Lanzmann , j'ai, semble t il, été inspiré jusqu'à ce petit essai mélangeant reformulation et inspiration :

Marcher, c’est…
Marcher, c’est explorer les limites de soi-même, Tout en parcourant les confins du monde. C’est redécouvrir celui qui fuyait, Lorsque le ciel s’effondrait sur lui.
C’est ressentir le froid des pierres du chemin, Se réchauffer sous le soleil ardent. Partir à l’aube plein d’énergie, Pour revenir épuisé en pleine nuit.
Marcher, c’est croiser des créatures qu’on ne trouverait nulle part ailleurs, Marcher, c’est aussi s’aventurer sans rencontrer âme qui vive. C’est prendre des vacances de la vie quotidienne, C’est exister en dehors des moments de repos.
Marcher, c’est surmonter son ombre, C’est se dépasser soi-même en se saluant au passage. C’est toucher le sol, le cajoler, l’apaiser, Une façon de garder la terre avec soi avant qu’elle ne disparaisse à jamais.
Marcher, c’est partager les secrets des dieux, C’est écouter leurs murmures et percevoir des bruissements qu’on pensait éteints. C’est participer aux discussions des arbres, Aux bavardages des oiseaux, aux moqueries des reptiles.
C’est s’intégrer à la nature, se fondre dans son moule, Marcher, n’est-ce pas, finalement, Feuilleter avec ses pas, page après page, Le grand livre de la vie ?


Une Redécouverte de Soi
Marcher, c’est redécouvrir celui qui fuyait lorsque le ciel s’effondrait sur lui. La marche au long cours est une confrontation avec nos peurs et nos angoisses. Elle nous force à affronter nos démons intérieurs, à surmonter les obstacles qui se dressent sur notre chemin. Chaque pas est une victoire sur soi-même, une affirmation de notre volonté et de notre résilience. En marchant, nous apprenons à nous connaître, à comprendre nos forces et nos faiblesses, à accepter nos limites et à les dépasser.

 

Une Communion avec la Nature
Marcher, c’est ressentir le froid des pierres du chemin, se réchauffer sous le soleil ardent. Partir à l’aube plein d’énergie pour revenir épuisé en pleine nuit. La marche au long cours est une immersion totale dans la nature. Elle nous permet de ressentir les éléments dans leur intensité, de vivre au rythme des saisons et des cycles naturels. En marchant, nous nous fondons dans le paysage, nous devenons une partie intégrante de la nature. Nous apprenons à écouter les bruissements des feuilles, les murmures du vent, les chants des oiseaux. Nous nous mêlons à la conversation des arbres, aux bavardages des oiseaux, aux moqueries des reptiles. La marche au long cours est une communion avec la nature, une manière de se reconnecter à nos racines primordiales.

 

Une Rencontre avec l’Autre
Marcher, c’est croiser des créatures qu’on ne trouverait nulle part ailleurs. Marcher, c’est aussi s’aventurer sans rencontrer âme qui vive. La marche au long cours est une aventure humaine, une rencontre avec l’autre dans toute sa diversité. Elle nous permet de découvrir des cultures, des modes de vie, des traditions différentes. En marchant, nous croisons des visages inconnus, nous échangeons des sourires, des paroles, des gestes de solidarité. Mais la marche au long cours est aussi une quête solitaire, une plongée dans le silence et la solitude. Elle nous apprend à être seul avec nous-même, à trouver notre propre voie, à écouter notre voix intérieure.

Une Évasion de la Vie Quotidienne
Marcher, c’est prendre des vacances de la vie quotidienne. C’est exister en dehors des moments de repos.

La marche au long cours est une échappatoire, une manière de sortir de la routine, de rompre avec les contraintes de la vie quotidienne. En marchant, nous nous libérons des obligations, des responsabilités, des soucis du quotidien. Nous nous offrons une parenthèse, un moment de liberté, de légèreté, de plénitude. La marche au long cours est une évasion, une manière de vivre pleinement, de savourer chaque instant, de goûter à la simplicité et à la beauté de la vie.

Une Quête Spirituelle
Marcher, c’est surmonter son ombre. C’est se dépasser soi-même en se saluant au passage. La marche au long cours est une quête spirituelle, une recherche de sens, de vérité, de transcendance. En marchant, nous nous confrontons à nos doutes, à nos interrogations, à nos questionnements existentiels. Nous cherchons des réponses, des éclaircissements, des révélations. La marche au long cours est une manière de se rapprocher de l’essentiel, de se connecter à quelque chose de plus grand que soi, de toucher du doigt le divin, le sacré, le mystère de la vie.
 

Une Écoute des Secrets des Dieux
Marcher, c’est partager les secrets des dieux. C’est écouter leurs murmures et percevoir des bruissements qu’on pensait éteints. La marche au long cours est une manière de se rapprocher des forces invisibles, des puissances supérieures, des énergies cosmiques. En marchant, nous nous ouvrons à l’invisible, à l’intangible, à l’ineffable. Nous devenons réceptifs aux signes, aux messages, aux révélations. La marche au long cours est une manière de se connecter à l’univers, de se fondre dans le grand tout, de participer à la danse cosmique.

Une Manière de Se Mettre la Terre dans Sa Poche
Marcher, c’est toucher le sol, le cajoler, l’apaiser. Une façon de garder la terre avec soi avant qu’elle ne disparaisse à jamais. La marche au long cours est une manière de s’approprier le monde, de le faire sien, de le posséder. En marchant, nous prenons possession de l’espace, nous nous l’approprier, nous le marquons de notre empreinte. Nous devenons les maîtres de notre destin, les créateurs de notre propre réalité. La marche au long cours est une manière de se réapproprier le monde, de le redécouvrir, de le réenchanter.
 

Une Fusion avec la Nature
Marcher, c’est participer aux discussions des arbres, aux bavardages des oiseaux, aux moqueries des reptiles. C’est s’intégrer à la nature, se fondre dans son moule. La marche au long cours est une fusion avec la nature, une manière de se reconnecter à nos racines, à notre essence, à notre être profond. En marchant, nous nous fondons dans le paysage, nous devenons une partie intégrante de la nature. Nous nous coulons dans le moule, nous nous adaptons, nous nous transformons. La marche au long cours est une manière de se réinventer, de se réincarner, de se réenchanter.

 

Une Lecture du Grand Livre de la Vie
Marcher, n’est-ce pas, finalement, feuilleter avec ses pas, page après page, le grand livre de la vie ? La marche au long cours est une lecture, une exploration, une découverte. Elle est une manière de tourner les pages du grand livre de la vie, de lire entre les lignes, de décrypter les signes, de comprendre les mystères. En marchant, nous écrivons notre propre histoire, nous traçons notre propre chemin, nous dessinons notre propre destin. La marche au long cours est une manière de donner du sens à notre existence, de lui donner une direction, une orientation, une finalité.

En conclusion, la marche au long cours est une odyssée intérieure et extérieure, une quête de soi et de l’autre, une communion avec la nature et les forces invisibles, une échappatoire et une réinvention, une lecture et une écriture de la vie. Elle est une expérience totale, une aventure humaine, une quête spirituelle, une manière de se réapproprier le monde et de se réinventer soi-même. Marcher, c’est finalement tourner avec ses pieds, au pas à pas, page après page, le grand livre de la vie.

à bientôt 👋

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P
Et comme l’écrit une personne sur FB : Ce serait mieux en citant ses sources ( j’y rajoute d’inspiration) :Jean-Jacques Rousseau (promenades philosophiques), Henry David Thoreau (exploration de la nature et de l'individualisme), David Le Breton , ou encore Frédéric Gros dans son livre Marcher, une philosophie<br /> <br /> Merci à lui
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P
J'ai donc retrouver cette personne ayant une page Facebook https://www.facebook.com/VersCompostelle/?locale=fr_FR et un site https://verscompostelle.be/index.html . <br /> Pierre SWALUS est visiblement est aussi un grand lecteur puisqu'il publie sur son site une bibliographie très fournie que vous pouvez retrouver sur https://verscompostelle.be/bibliographie-pelerinage-theme.htm . <br /> <br /> Je n'ai hélas pas cette énorme culture , un certain nombre de ces titres et auteurs me sont connus, mais hélas ja'e n'ai pas eu la joie de les lire tous . Cela sera peut-être une de mes futures aventures d'homme ordinaire .<br /> <br /> je rajoute à l'article https://verscompostelle.be/Bibliographie-reflexions.htm, <br /> et à la question :Cependant la question se pose : pourquoi publie-t-il la relation de son pèlerinage ?<br /> <br /> Une des raisons pour laquelle, nous , personnes ordinaires souhaitons écrire un blog ou des "article" sur Face book est souvent tout aussi "banal" que nos propos , mais c'est avant tout un partage , c'est tout simple. <br /> <br /> Après en faire un roman ou un récit publié par un éditeur et distribué dans une librairie, c'est une autre affaire et bien loin des préoccupations d'un être ordinaire , et puis être publié, il est nécessaire d'avoir un environnement favorable et un entre-gens digne de ce nom ( ou d'un Nom) , ce qu'une personne au propos "banal" a rarement . <br /> Après que veut dire "propos banal" , je ne sais pas, cela fera peut-être parti d'une de mes prochaines aventures d'homme ordinaire . <br /> <br /> à bientôt👋